il ne reste plus que 1 000 jours pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)

Pour lire le texte intégral, cliquez ici. (PDF)
Dans une lettre au Financial Times, des dirigeants religieux de pays du G8 ont incité les têtesde gouvernements à suivre l’initiative du Royaume-Uni dans la réalisation des engagementsactuels à dépenser 0,7 % du revenu intérieur au chapitre de l’aide. Il ne reste plus, font-ilsobserver, que 1 000 jours pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement(OMD) d’ici à l’échéance du 2015.
En mettant l’accent sur la fiscalité, le commerce et la transparence, soutiennent les dirigeantsreligieux, la Présidence du G8 du Royaume-Uni peut faire avancer l’agenda par des mesuress’attaquant aux causes sous-jacentes de la pauvreté, plus particulièrement en faisant en sorte que les richesses crées par les pays en voie de développement ne soient pas gaspillées par des mesures fiscales injustes, par manque de transparence ou par l’échec à assurer des avantages commerciaux aux pays en voie de développement.
« Il est possible d’atteindre les cibles restantes, tout en contestant, mais seulement si lesgouvernements tiennent les engagements moraux et politiques pris il y a une décennie »,souligne-t-on dans la lettre.
« À ce moment où il ne reste plus que 1 000 jours pour atteindre les Objectifs du Millénairepour le développement fixés par l’ONU », déclare le Très révérend Nick Baines, évêquede Bradford (insérer le nom du dirigeant religieux approprié), « il faut que les chefsde gouvernements du G8 donnent le ton. Je vais appuyer la cause grâce à Tweeter, parl’intermédiaire de #1000DaysToGo, tout en espérant que la vague de commentairesencourage les gouvernements à ne pas renoncer. (ou insérer la citation) »
Ils plaident en faveur d’une Convention du G8 sur la Transparence fiscale qui engagerait lespays signataires à empêcher les personnes et les sociétés de cacher leurs richesses de manièreà les rendre introuvables. Ils demandent en outre au G8 d’exiger une plus grande transparencefinancière de la part des pays en voie de développement, afin que les citoyens puissent tenirleurs gouvernements redevables de leurs dépenses.
« Le développement va bon train, mais les défis subsistent », souligne la lettre. « Le nombrede personnes vivant dans une extrême pauvreté a été réduit de moitié avant le temps prévu,tandis qu’il meurt chaque jour 14 000 enfants de moins qu’en 1990. Pourtant, une personnesur huit se couche encore tous les soirs le ventre creux, tandis que plus de deux millionsmeurent chaque année de malnutrition. »
Il se peut que la crise financière soit la raison, mais elle n’est pas un prétexte pour hésiter oupour remettre à plus tard, ajoute la lettre. « Il ne sera pas facile de parvenir à un consensusferme à ce sujet, mais avec la volonté politique et le leadership moral à prévoir, le G8 de cetteannée pourrait créer un environnement créateur des conditions nécessaires à la croissanceéconomique inclusive, équitable et durable dont on a désespérément besoin pour atteindre lesOMD, voire les dépasser,. »
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